Galaxie satellite

De nos jours, Galaxie satellite est un sujet qui a retenu l'attention de personnes du monde entier. En raison de son impact sur la société, l’économie et la culture, Galaxie satellite a suscité un intérêt croissant pour son étude et son analyse. De ses origines historiques à sa pertinence dans le monde moderne, Galaxie satellite a laissé une marque durable sur différents aspects de la vie quotidienne. Dans cet article, nous explorerons plus en détail l'importance et l'influence de Galaxie satellite, ainsi que ses implications pour l'avenir.

La galaxie d'Andromède avec ses deux satellites les plus proches : M32 et M110.

Une galaxie satellite gravite autour d'une plus grande galaxie.

Dans une paire de galaxies en orbite, si l'une est nettement plus grande que l'autre, alors, la plus grosse est la galaxie primaire et la plus petite, la galaxie satellite. Si deux galaxies en orbite sont de taille plus ou moins équivalentes, on dit qu'elles forment un système binaire, comparable (mais à une tout autre échelle) à un système binaire d'étoiles.

Des galaxies qui se rapprochent peuvent entrer en collision. Étant donné que les étoiles sont séparées, typiquement, par des espaces vides de plusieurs années-lumière, les objets massifs qui composent ces galaxies n'en viennent pas pour autant à se heurter ou à interagir fortement. Cependant, en les considérant comme de larges regroupements formant une unité apparente à grande échelle, les galaxies peuvent fusionner ou voir leur structure profondément remaniée. Chacune peut également attirer dans son propre cortège des étoiles provenant de l'autre galaxie, ce qui les rend éventuellement difficile à délimiter.

Une corrélation linéaire non expliquée entre le nombre de galaxies satellites et le rapport entre masse du bulbe et masse baryonique a été observée sur les trois galaxies principales du Groupe local ainsi que chez M81, Centaurus A et M101.

Voir aussi

Références

  1. (en) Behnam Javanmardi et Pavel Kroupa, « A correlation between the number of satellites and the bulge-to-total baryonic mass ratio extending beyond the Local Group », Monthly Notices of the Royal Astronomical Society, vol. 493, no 1,‎ (lire en ligne).

Articles connexes