Cet article abordera l'importance de Luc Le Vaillant dans la société d'aujourd'hui. Luc Le Vaillant a gagné en pertinence dans différents domaines, de la mode à la technologie, en passant par la culture et la politique. Son influence s’est considérablement étendue ces dernières années, générant un profond impact sur la manière dont les gens interagissent et interagissent les uns avec les autres. C'est pourquoi il est essentiel d'analyser en profondeur le rôle que joue actuellement Luc Le Vaillant, ainsi que ses éventuelles implications à court et à long terme. À cette fin, différentes perspectives et études de cas seront examinées pour mieux comprendre l'importance et la portée de Luc Le Vaillant dans la société contemporaine.
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Parentèle |
Yvon Le Vaillant (oncle) |
A travaillé pour |
Libération (depuis ) |
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Distinction |
Prix Albert-Londres de la presse écrite (d) () |
Luc Le Vaillant, né le à Landivisiau (Finistère), est un journaliste français. Depuis 2000, il dirige la rubrique « Portrait » du journal Libération.
Fils d'un médecin généraliste et d'une mère professeur de français-italien, il est l'aîné d'une famille de six enfants. Il passe son enfance à Plougasnou où il se passionne pour la voile, l'amenant à fréquenter l'équipe de France olympique,.
Après des études de philosophie à Brest et à la Sorbonne, il sort diplômé du centre de formation des journalistes de Paris en 1984, et commence sa carrière dans des magazines de voile. Il est directeur du Comité Français pour la coupe de l'America présidé par Jean Glavany et intègre ensuite le cabinet de Louis Le Pensec, ministre des DOM-TOM, pour rédiger ses discours .
En 1990, Luc Le Vaillant rejoint le service des sports de Libération, puis en 1995 la rubrique « Portrait ». Il en prend la direction cinq ans plus tard.
En 1998, il reçoit le prix Albert-Londres dans la catégorie presse écrite.
En , il publie dans Libération une chronique relatant une rencontre fictive avec une femme voilée dans le métro. Cette chronique suscite la polémique, y compris au sein de la rédaction du quotidien, étant jugée « raciste » et « islamophobe ». En réponse, Luc Le Vaillant s'inquiète que « la demande de respect mute en interdiction du blasphème, de la satire ou de la caricature ».