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Le prix Jean-Jacques-Weiss, de la fondation du même nom, est un ancien prix de l'Académie française, créé en 1910, décerné tous les deux ans par l'Académie française.
Principe d'attribution
Le prix remis en souvenir de Jean-Jacques Weiss est attribué à un ouvrage en prose, du plus pur style classique, traitant soit de voyages, soit de littérature ou de critique littéraire ou dramatique ou théâtrale, ou encore de politique.
Liste des lauréats depuis 1915
- 1915 : Max Doumic, pour Le Secret de la Franc-Maçonnerie
- 1917 : Antoine de Lévis-Mirepoix, pour Les campagnes ardentes
- 1919 : Camille Mauclair, pour Charles Baudelaire
- 1921 : Gustave Michaut, pour Histoire de la comédie romaine. Plaute
- 1923 : Maurice Muterrer, pour Près du tombeau de Cestius
- 1925 : Émile-Louis-Bruno Bruneau de Laborie, pour Du Cameroun au Caire par le désert de Libye
- 1927 : Jean-Marie Carré, pour Michelet et son temps
- 1929 : François de Tessan, pour Le Japon mort et vif
- 1931 :
- 1933 : Léon Le Meur, pour La vie et l'œuvre de François Coppée
- 1935 : Paul-Jean de L'Orza, pour De Marseille au Soudan français
- 1937 :
- 1939 : Jacques Arnavon, pour Le malade imaginaire, de Molière
- 1943 : Jean Mauclère, pour Caravelles au large
- 1945 : J.-L. Gheerbrandt, pour Notre Empire
- 1949 : E.-M. Bornecque, pour Petite histoire économique et financière de la France
- 1952 : Louis Salleron, pour Les Catholiques et le Capitalisme
- 1954 :
- 1956 : Étienne Falck, pour Les portes de glace
- 1960 : Émile Saillens, pour John Milton
- 1962 : Armand Lanoux, pour Amours 1900
- 1964 :
- 1966 :
- 1970 :
- 1974 : Magdeleine Cluzel, pour Au fil de l’eau, autour de la Terre
- 1976 : Michel Touchard, pour Les voyages de Bougainville
- 1980 :
- 1982 :
- Yves Jacob, pour Les grands moments littéraires de Normandie du XVIIIe siècle à nos jours
- Roger Béteille, pour La France du vide
- 1984 : Philippe de Baleine, pour Hôtel des Piranhas
- 1988 : Anne Pons, pour Les sentiments irréguliers
Notes et références